Boîtes de grammaire Montessori


#2

J’ai des ce1 et j’utilise ma méthode de chez Retz “Réussir son entrée en grammaire” en introduisant en même temps les symboles Montessori.
Puis j’utilise les bandes de phrases sous lesquelles je fais placer aux élèves les symboles Montessori en 2D.
Je te mets le lien de mon blog: http://autrement01.blogspot.fr/2016/04/la-nature-des-mots.html
Je n’utilise pas les boîtes, comme toi je n’en vois pas trop l’utilité, mais peut-être que des instits plus avertis en pédagogie Montessori pourraient nous renseigner?


#3

Je suis pour le fait de ne pas multiplier les ateliers, je préfère me concentrer sur ceux qui ont vraiment du sens.
J’ai donc choisi le travail avec les symboles de grammaire plutot que les boites de grammaire, car comme toi, je n’en vois pas beaucoup le sens. Les symboles, eux, me parlent plus. Mais je n’ai pas encore expérimenté (je suis en dispo).
J’ai acheté le guide Pas à pas Montessori 6-12 français, il est très bien fait et m’aide justement à faire ces choix.
http://ecole-vivante.com/montessori-francais-6-12.html
L’explication sur les boites de grammaire et les symboles est limpide.
Pour les étiquettes et les symboles, j’ai repéré ce document, et vu le prix peu élevé, je ne vais pas faire l’effort de fabriquer mes propres étiquettes…
http://www.documentsmontessori.fr/products-page/grammaire/bandes-de-grammaire-montessori/
http://www.documentsmontessori.fr/products-page/grammaire/symboles-de-grammaire/

Anne


#4

Moi j’ai imprimé les phrases sur les natures de mots de Participassions, elles sont gratuites, il suffit de s’inscrire.


#5

Merci, j’ai parcouru toutes les références que vous m’avez donné. C’est très riche.
Après m’être plongé dans le Pas à Pas Français, j’ai effectivement eu plus de détails sur la manière d’amener les boîtes mais surtout les symboles de nature de mots et il s’avère bien que le travail avec les symboles est précieux. Aussi, avez vous travaillé au préalable les notions de masculin Féminin sur des objets puis les mots les désignant et enfin des listes de mots ainsi que la notion d’article défini/indéfini comme recommandé dans le pas à pas?


#6

Je n’ai personnellement pas réussi à mettre en place les boîtes de grammaire dans ma classe (de CE1).
Il se trouve également que j’ai assisté à une conférence de Françoise Picot cette semaine à laquelle j’ai appris que cette grammaire héritée du XIXè siècle ne se pratiquait même plus à l’université et ne subsistait qu’à l’école. Je trouve sa proposition intéressante, car plutôt que de proposer une grammaire où l’élève passe beaucoup de temps à identifier des natures et des fonctions qu’il ne réinvestit pas en écrivant, elle propose une démarche dans laquelle on repère comment fonctionne la langue avec pour objectif de mieux lire et écrire, en prenant appui sur l’oral.
Je la combine dans la classe avec une production d’écrits régulière.
Partir de ce que les élèves maîtrisent déjà en parlant me paraît judicieux.
Catherine


#7

@Catherine35,
Tu veux dire que tu n’utilises même pas les symboles de grammaire ?


#8

Non, dans la mesure où personne ne les utilise dans l’école, pourquoi mettre en place un codage qui ne servira qu’une année ? Il y a plus ou moins un consensus sur les personnages de RSEEG de retz. Il faut aussi que les élèves s’y retrouvent d’une année sur l’autre.
Catherine


#10

Lorsque nous transposons un texte en “il” (le loup) en un texte en “ils”(les loups) ou “je” (moi, le loup), les élèves le transforment à l’oral et j’écris les modifications à apporter ; ils s’aperçoivent qu’à l’oral c’est quelque chose qu’ils maîtrisent car il s’agit de parler comme ils le font naturellement. C’est un exercice qu’ils trouvent très ludique. En répétant l’exercice, ils perçoivent des récurrences (modifications dans l’accord sujet/verbe, dans les accords dans le groupe nominal).
Pour ce qui est de la production d’écrits, j’entends très régulièrement des “ah, mais non” lorsque je relis leur texte à voix haute et qu’il s’aperçoivent que ce qui est dit ne correspond pas à ce qu’ils ont voulu écrire et à ce qui se dit ( correspondance graphie/phonie, oubli de lettres ou de mots, syntaxe, conjugaison … plus difficile pour la concordance des temps en CE1 chez certains).


#11

Un site sur lequel on peut trouver de nombreuses ressources Montessori mais surtout un fichier gratuit avec les symboles de grammaire à imprimer ainsi que des affichages pour la classe.
http://www.lejardindekiran.com/realiser-les-symboles-des-natures-de-mots-de-montessori-modeles-imprimables/
Si ça peut être utile:relaxed:


#12

Hello,

Je me suis aussi lancée dans la construction des boites mais pour des élèves + âgés.

Je pensais de toute façon commencer l’année en introduisant les symboles Montessori pour les natures de mots, utiliser les boites en atelier et ensuite dériver vers l’analyse de phrase. :slight_smile:

J’espère avoir pu aider :slight_smile:


#13

Bonjour, je me questionne aussi.
Bonjour !
Je travaille en ULIS école et je garde donc mes élèves longtemps.
Je pratique la méthode Picot depuis 3 ans. Avant, j’utilisai RSEEG (depuis sa publication) et avant encore les symboles Montessori mais sans les boîtes (et j’étais rudement moins compétente…). Une analyse rapide et subjective me fait penser que la démarche Picot est la plus explicite ET porteuse de sens, elle lie l’étude de la langue et la compréhension/production de texte (si on fait bien toutes les transpositions et les séances de fin de semaine!!) comme on le ferait à partir des textes libres mais avec le truchement du choix des textes. Elle a permis à plusieurs de se remettre à oser penser le langage écrit et “sur” le langage écrit. Par contre, pour mes élèves handicapés ou en grand échec, qui m’arrivent après 7 ans, certains ont besoin de plus de concret, plus longtemps, de manipuler pour ancrer, pour rappeler, pour nommer, pour comparer, pour transformer… Les personnages de RSEEG ne sont pas compréhensibles par certains élèves TED (qui ne fréquentaient pas la classe à l’époque) car trop “irréels”, “impossibles”.
J’ai par ailleurs deux élèves qui utilisent une adaptation de la Méthode des Jetons pour soutenir leur langage oral, le glissement vers l’analyse de l’écrit est en train de se faire, il me suffirait de remplacer les jetons par les symboles au fur et à mesure de la découverte des concepts…
J’ai un grand renouvellement de ma classe cette année, je pense donc présenter à cette nouvelle cohorte les symboles, autour d’activités inspirées du fonctionnement de Mme Picot et des textes libres et projets d’écriture qui existent déjà (je dois de toutes manières beaucoup adapter sa méthode pour respecter le rythme d’avancée des élèves). Peut-être préparer des ateliers à partir de phrases extraites de leurs/nos textes… Peut-être fabriquer des exerciseurs JClic avec les symboles… ?
Ce message est bien long, il reflète ma difficulté à faire des choix à ce stade. Vous m’en excuserez.
Salutations !


#14

Picot, je trouve que ce qui est intéressant c’est : rebrassage, place de la production d’écrit transpositions etc, RSEEG je n’ai pas pratiqué donc je ne peux pas dire mais les petits personnages me font penser aux symboles Montessori, la différence c’est qu’un triangle de couleur par exemple c’est plus facile à utiliser (dessin, decoupage, petites pieces outils) que que les petits personnages de retz… pour le reste je ne saurai dire.


#15

Bonjour,
Je vais vous présentez ce que je compte mettre en place avec les boîtes de grammaire. Comme @Dami1, j’avais beaucoup de mal à mettre du sens sur ces mystérieuses boîtes, sans parler de l’encombrement. Beaucoup de choses me semblaient peu claires. J’avais donc, tout comme @Kej plus ou moins renoncé à les mettre en place (quel intérêt ?) et à plutôt baser mon travail de grammaire sur les symboles, ainsi que comme l’a proposé Céline, partir des textes des élèves.

Oui mais voilà, je ne suis pas à 100% enthousiasthe à l’idée de partie uniquement des écrits de mes élèves. Dans un monde parfait (en IEF par exemple…) ce serait l’idéal mais le fait est que si mes élèves de cette année ressemblent ne serait-ce qu’un tant soit peu à mes élèves de l’an passé je n’ai aucune chance de réussir à intercepter tous leurs écrits, les recouper,pointer ceux qui vaudraient la peine d’être améliorés… Je ne dis pas que je ne le ferais pas, au contraire je le ferais le plus souvent possible mais sans jamais avoir testé, je préfère avoir quelques solutions de secours.

Je me suis donc penchée en trainant un peu des pieds sur quels petits exercices, rapides et pas trop contraignants je pourrais faire travailler mes élèves (à leur rythme bien entendu) et je cherchais du côté des cahiers “Les petits Montessori”, me disant que leur proposer certains de ces exercices avec le travail de symboles serait un bon compromis entre les traces écrites réclamées par l’institution et la manipulation seule.

Seulement voilà (promis j’arrête bientôt de raconter ma vie et je passe aux explications sur mes boîtes !!) J’ai compris en feuilletant le cahier que le travail sur les boîtes avait non seulement plus de sens que je ne m’en faisais, mais qu’en plus il semblait-être une première étape avant d’introduire les symboles ! En réalité, je pense que ce matériel est méconnu et mal compris, car tout le monde est assez mitigé dessus, pourtant je trouve qu’il présente un certain intérêt dans le sens où il est vraiment concret.

Vous me connaissez cependant, j’ai apporté quelques modifications pour en simplifier l’utilisation (tout comme l’a fait @Celine avec beaucoup de matériel à Gennevilliers) jusqu’à arriver à quelque chose qui me plaise, et qui ait beaucoup de sens. Je vous présente ça.

J’ai créé les miennes moi-même en carton pour 3 raisons.

  1. Je n’ai pas encore testé le matériel en classe. Je ne sais donc pas si il passera le test et si je vais le garder, alors en attendant je ne vais pas investir dedans.
  2. Le matériel des boîtes est cher. TRÈÈÈS cher pour quelques malheureuses boîtes en carton-plume.
  3. Ce matériel est vraiment encombrant. Ce qui est désagréable en soi devient vraiment ingérable dans ma classe qui ne fait (accrochez-vous bien) que 36 mètres carrés.

Je vous montre mes boîtes revisitées en planches.





Je créerais également les 3 autres sous peu.

J’ai ensuite écumé les sites et blogs à la recherche d’étiquettes pour les utiliser et je me suis heurtée à un nouveau problème : je trouvais que ça n’avait aucun sens de créér des mots avec des étiquettes colorées aux couleurs de la boite. L’enfant n’aurait ensuite plus qu’à faire correspondre la couleur de l’étiquette avec celle du compartiment et n’aurait pas à réfléchir à la nature du mot. J’ai trouvé cela tellement absurde que j’ai décidé d’imprimer toutes les étiquettes en blanc, n’en déplaise aux puristes Montessori…

Si ça intéresse quelqu’un, j’ai téléchargé le fabuleux dossier de family and co. Je vous mettrais prochainement le lien (quand je le retrouverais en vérité).
J’ai donc imprimer, plastifié et découpé toutes les étiquettes puis je les ai rangé en pochettes comme ceci (sachant que je n’ai pas encore trouvé une bonne boîte pour tout ranger) :

Je vais vous faire une mini démo en prenant pour exemple la première pochette de verbes.

Le contenu de la pochette étalé :


On propose donc à l’enfant de choisir une phrase et de la placer dans le grand compartiment, de la lire et d’effectuer les ordres.

Puis je demande à l’élève de chercher parmi toutes les étiquettes les mots permettant de reconstituer les phrases. Je les ai disposés ainsi pour la photo mais je n’ai pas du tout décidé d’une disposition encore.

Je demande ensuite à l’élève de me dire quel mot lui a permis de comprendre ce qu’il devait faire, l’action à effectuer. Il me dit “Lève”. Je lui dis alors que Lève est un verbe puisqu’il indique une action. Il place donc le mot “lève” dans la case verbe.

Je lui propose ensuite de trier par lui-même les cartes restantes, réinvestissant ce qu’il a appris dans les boites précédentes.

Je procède de même pour la seconde phrase, remarquant que seul le verbe change… Mais que cela suffit à faire changer d’action.

Je procède de même pour les autres étiquettes phrases.

Un contrôle de l’erreur possible est qu’une fois toutes les phrases crées il ne doit plus rester aucune étiquette. Je me demande également si à l’usage je ne vais pas proposer une correction derrière les étiquettes.

Après ce travail, nous pourrons passer sur le travail du symbole du verbe.

Je tiens à préciser (et je pense que c’est important) que je ne compte pas y faire passer tous mes élèves. Pour moi, l’important est que si un de mes élèves à besoin des boites pour mieux comprendre la grammaire en la vivant, il puisse les avoir. Si pour certains je n’en ai pas besoin, et bien soit !

Voilà si vous avez des questions (sur les dimensions des boites, sur la construction, sur mes pochettes, sur mes cartes, sur la manière de présenter ou une tout autre question…) je serais ravie d’y répondre.

Je me doute que le fait d’utiliser ces boîtes va être assez controversé mais je suis têtue comme une bourrique, et j’aimerais bien tester de manière à me faire mon propre avis.

Désolée pour le pavé (encore)…


#16

[quote=“Babetterave, post:15, topic:2647”]
Je me doute que le fait d’utiliser ces boîtes va être assez controversé mais je suis têtue comme une bourrique, et j’aimerais bien tester de manière à me faire mon propre avis.
[/quote]Tu as bien raison @Babetterave! Si tu as envie de tester ces fameuses boites, fonce ! En plus, le fait-main t’évite de dépenser des 1000 et des 100. Merci pour les photos, c’est toujours très parlant :slight_smile:.
Nous vous avons soumis des propositions, mais à chacun de se les approprier et d’ajouter ce qui lui parle.
Bons préparatifs !


#17

Bonjour,

En ce qui me concerne j’ai un papa en or qui m’a construit les boites en bois :slight_smile: J’ai ensuite peint le tout et ajouter des petits cartons dedans.

Je suis institutrice en cinquième primaire en Belgique (Donc Cm1) et je vais utiliser les boites lors des ateliers pour l’analyse après une présentation de symboles Montessori en classe :slight_smile:
J’aime le fait que l’enfant soit obligé de décortiquer la phrase, d’analyse chaque mot pour pouvoir aller chercher dans la bonne boite de stockage et de replacer l’étiquette dans la bonne case. C’est un travail super et pour l’analyse plus complexe pour la suite c’est génial :slight_smile:

@Babetterave je suis HYPER intéressée par les étiquettes :slight_smile: -> Laurence.schram@gmail.Com :smiley:


#18

Je suis en maternelle, mais je trouve cela intéressant! En revanche, si je devais le mettre en place, je ne ferai qu’une seule boîte avec tous les compartiments nécessaires mais des étiquettes “nomenclature” amovibles. Merci pour ce partage!


#19

Bonjour,

Je viens de retrouver d’où viennent les phrases utilisées par Babetterave : elles proviennent du site http://ecole-et-cabrioles.blogspot.fr/2014/03/boites-de-grammaire-les-fichiers.html.

En complément de toutes les excellentes ressources citées ci-dessus, je voulais rajouter les étapes de présentations préconisées par la pédagogie Montessori pour aborder les différentes notions de grammaire :
1- présentation sensorielle, spécifique à chaque notion, plus ou moins riche en fonction de l’age de l’enfant (des exemples de présentation sensorielle dans le billet ci-après http://ecoledesamours.blogspot.fr/2013/01/les-debuts-de-la-grammaire.html). Cette étape est pour moi très importante pour ancrer la notion chez l’enfant. Elle a été très appréciée des 3 enfants que j’ai suivi l’année dernière dans une classe Montessori 6-12ans.
2 - la présentation du symbole, avec des explications sur le choix du symbole pour aider l’enfant à le mémoriser (ex : une pyramide noire pour le nom, car la pyramide existe depuis longtemps et elle porte toujours le même nom. Elle est noire comme le charbon qui est aussi une roche noire que l’homme utilise depuis très longtemps.) Cette présentation peut sans problème être réalisée en même temps que l’étape 1, si l’enfant est en 6/12 ans. Le nom de la nature (“nom”, “déterminant”, “article”, “verbe”…) peut être donné à ce moment là où plus tard, à l’étape 3 ou même 4 : l’enfant doit s’être préalablement bien imprégné sensoriellement du concept et du symbole avant de lui donner le nom.
3- la boite des ordres (les ordres sont également disponible sur le lien ci-dessous du site écoles et cabrioles) qui a pour but que l’enfant réalise des actions faisant intervenir les différents sens de ma notion de grammaire étudiée (ex : pour les noms : le nom concret, nom abstrait, nom propre, nom commun…). Il s’agira de nouveau d’une découverte sensorielle de ces nouveaux sens qui constituent l’ensemble des facettes de la notion de grammaire étudiée.
4- la boite de grammaire aussi appelée boite de tri : elle est présentée comme une étape liant le sensoriel et le début du questionnement pour identifier les natures des mots. L’enfant reconstitue la phrase initial avec les mots en couleurs (identification des natures des mots avec les couleurs) puis place les mots en couleurs dans la boite (identification des natures des mots avec les noms des natures). Personnellement, j’ai constaté dans la classe où je suis intervenue l’an dernier qu’elles n’étaient pas beaucoup utilisées. Et si les enfants ne viennent pas du “moule” montessori, ils réalisent les associations sans se poser les questions qui permettent d’identifier les natures des mots (De quoi ou de qui on parle ? Combien il y en a ? Comment est le nom ? Quelle est l’action ?). Malgré tout, cela permet peut-être aux enfants de s’imprégner doucement des natures ? Je pense que c’est un matériel que je ré-essaierai d’utiliser avec des élèves rencontrant des difficultés à passer à l’étape suivante. Ou que j’utiliserai , comme Babetterave sans les couleurs, pour renforcer l’étape 5.
5- Etiquettes « phrase » auto-correctives à analyser en posant au-dessus des mots les symboles de grammaire correspondants (réalisés en 2D ou en 3D avec de la pâte FIMO). Il suffit de retourner l’étiquette pour s’assurer que l’ordre des symboles est le bon.
6- Généralisation/ré-investissement : des exemples ci-dessous

  • Compléter des petits livrets : des livrets sont disponibles sur le site « le petit roi » ou participassions
  • Choisir des symboles de grammaire connus et construire/écrire des phrases en utilisant ces symboles (à l’écrit ou à l’oral ; on peut aussi proposer à l’enfant de construire la phrase en choisissant parmi des étiquettes mots colorisées ou non)
  • association de nom/adjectif (lion/féroce, sorcière maléfique), nom/verbe (le lion/rugit, le chat/miaule), pour manipuler les notions de grammaire et développer le vocabulaire (disponible sur participassions)
  • identifier des noms, adjectifs, verbes… dans des textes

Pour conclure, les 3 enfants que j’ai suivi ont bien particulièrement apprécié l’étape 1 et l’étape 5, en rédigeant moi-même les phrases à analyser devant eux, à la façon des “petits secrets” de Céline et en les laissant positionner les symboles réalisés en 3D avec de la pâte FIMO (dans ce cas là, il n’y avait pas d’auto-correction possible :frowning: ).

J’espère que ces éléments pourront alimenter vos réflexions :slight_smile:


#20

Ah non @Celine777 elles viennent de familyandco !!


#21

Merci pour la précision Batterave ! Je recommande également celles d’école et cabrioles :slight_smile:


#22

Bonjour,

Je confirme, le guide Pas à Pas de Montessori est vraiment très bien fait. C’est une mine d’or…