Salutation,
J’avais fini par retrouver une publi (mais Julien à fait mieux en allant directement à la racine):
et pour ceux qui patiente encore, en fait c’est déjà dispo si vous suivez le lien 
Je suppose que soit j’ai manqué le lien lors de mes recherches en décembre, soit le site est plus récent. Comme j’écrivais ma réponse alors que Julien faisait mouche, je vous la laisse tout de même pour les thèmes abordés et en espérant que ça passe aujourd’hui (intégration et langues étrangère ; question des licences et de la recherche libre - de droit - ; extraction de données et adaptation du logiciel ; jeux logiciels et jeux physiques ; modèle alternatif d’évaluation)
http://www.sherpa.ac.uk/romeo/search.php n’a pas d’info sur les publications de l’ANAE. Mais je n’ai pas l’impression d’être chez des libristes. (https://www.anae-revue.com/qui-sommes-nous/). Mais de façon générale, je n’apprécie pas la marchandisation de la connaissance (https://www.anae-revue.com/abonnement-2018/) (même quand les montants sont loin des sommes que l’on peut rencontrer dans d’autres disciplines). J’espère que cette discipline de recherche trouvera plus ouvert. Je ne sais pas dans quelle mesure le © ralentira cette recherche, les réplications ou tests alternatifs.
Mais puisqu’il y a excellence, (Labex), j’espère bien que ces chercheurs et chercheuses financés par la puissance publique se feront un plaisir de libérer tout élément qu’un contribuable leur demanderait voir anticiperaient en rendant libre (ex : CC-BY-SA) l’ensemble des éléments (hors informations nominatives liées au élèves évidement),i.e. données, codes sources et publications. Peut-être une version sur FOSS- ou f- droid 
Citation
REMERCIEMENTS
Nous remercions Nathalie Fina et Christine Garcia d’avoir réalisé cette
étude dans le contexte de leur mémoire d’orthophonie et Sylvie Rouillard,
Édouard Alavoine et Jean-Patrice Albrand pour leur aide technique tout au
long de ce projet. Nos remerciements vont également aux équipes pédago-
giques et aux enfants des écoles de la circonscription de Sisteron Sud dans
les Alpes de Haute Provence. Cette recherche a été financée par un contrat
ANR [ANR- 13-APPR-0003]. Cette recherche a également bénéficié du
support du Labex BLRI (ANR-11-LABX-0036) et de l’Institut Conver-
gence ILCB (ANR-16-CONV-0002) et de l’initiative d’excellence d’Aix-
Marseille Université (A*MIDEX).
Du coup, oui, merci à vous.
Si certain-e-s les connaissent n’hésitez pas à demander. Si vous ne les connaissez pas, tentez toujours votre chance, les chercheurs signent leurs travaux et joigne quasi systématiquement leurs coordonnées (ici celles de Johannes). L’étude pointe sur ses limites la taille de l’échantillon et la durée d’entraînement. Avis aux prof et classes volontaires.
Là je suis un peu pris, mais pourquoi pas écrire une lettre type plus tard, pour qu’elle soit envoyée par toute personne intéressée. (sur ce sujet ou un autre).
@sylviecotejardin,
Concernant l’usage (application) et s’il faut déplorer ou non le difficile accès à un tel outil (ce qui n’est plus le cas que sous certaine considération maintenant qu’il est sous la distrib de Google). J’avais précisé viser l’ado ou l’adulte. Je m’interroge encore sur l’interaction à l’informatique chez l’enfant (si c’est là votre réserve). Ce qui est certain, c’est que pour une école résiliente (aux décennie qui vont survient), ce n’est pas un objet que je qualifierais de “low-tech”. Et je considère avec scepticisme son usage ‘collectif’ (en classe par exemple). Pour un usage individuel je reste curieux. Je préfère clairement ça à un FPS pour des enfants. Mais j’aime bien le moment privilégié que j’ai depuis peu avec ma fille “Quand on s’écrit des secrets”.
Pour des difficultés lourdes et afin de recueillir des données qu’un cerveau humain (même de professeur-e entraîné-e) ne relèverait pas, je trouverai ça bien plus pertinent.
Sur quelles bases le logiciel modifie-t-il les exercices et leur difficulté etc. (? juste le tx succès) ? Comment peut-on en raffiner l’implémentation (ciblage de phonème) ? Comment peut-on extraire des données d’exercices ? Le jeu peut-il être une forme d’évaluation moins invasive pour le fonctionnement de classe que d’autres évaluations classique “sur table”, ou compatible avec des approches pédagogiques qui ne serait pas compatible “EN” parce que ne délivrant pas des évaluations “conformes” à l’attendu de cette institution ? (voie d’entrée pour des pédagogies alternatives dans l’EN ou le privé en contrat ?)
L’article décrit en pilotage un “taux de réussite”, mais l’outil peut-il d’abord travailler dans l’évaluation de conscience phonologique (actionner / agir : lorsque les phonèmes présentés sont différent, ou identique ; doublons avec un exercice de contrôle exécutif : inhibiteur ), avant d’avancer – une fois ce point validé – vers la correspondance graphique. [Ce point par exemple me semblerait pertinent pour l’apprentissage d’une langue étrangère : Certains ‘K’ arabe me sont indiscernables. Et pour le coup, un outil pour assister des primo-arrivants dans l’acquisition de la langue d’accueil me paraîtrait très pertinent.]
Dans le cours de Dehaene, le logiciel (jeux) mentionné pour renforcer le contrôle exécutif (capacité d’inhibition et contrôle dans l’action) Ex : réaliser une action à tel stimuli, mais pas à un autre, me paraît également une course “high tech” dans le cadre d’une classe. Un “jungle speed” simple équivalent me semble tout aussi pertinent (peut-être plus selon l’interaction social qu’il génère).
Une étude comparée (et même plusieurs) entre un logiciel et un jeu physique ‘identique dans son principe’ serait une expérience à mon avis bien pertinente. Les gestes et postures ostensibles d’apprentissage, que l’adulte apporte, mais aussi les enfants lorsqu’ils s’apprennent entre eux, offrent-ils plus de ‘performance’ qu’une adaptabilité fournie par l’algorithme d’un logiciel ? (Avis aux chercheuses et chercheurs du forum ou même à l’équipe d’AMU si elle passe par là !
)
Bien à vous,
Rudy