J’ai d’ailleurs beaucoup aimé la citation de Daniel Pennac et essaie de la suivre ces jours-ci…
J'ai perdu la main sur ma classe
“Seuls quelques enfants exceptionnels peuvent se développer normalement en dépit du relâchement des règles et des défaillances de l’organisation. La grande majorité souffrira d’abandon.” Janusz Korczac, pédopsychiatre polonais du début du XXème siècle.
Notre métier est très difficile. Il faut du courage et de l’abnégation. Prenez soin de vous😍
En lisant ce billet du blog de Bernard Collot (instigateur de la pédagogie du 3ème type, je ne vais pas développer ici, trop long), j’ai pensé à notre conversation autour de la bienveillance et de la fermeté, de la nécessité du cadre.
C’est une maman qui témoigne, ses enfants sont dans une école démocratique hors contrat (beaucoup de libertés laissées aux enfants, pas de programmes, etc…)
N’hésitez pas à donner vos impressions, si vous en avez envie.
Anne
Juste un petit témoignage encourageant
Je suis en année 1 avec 29 PS/MS, et ce n’est pas de tout repos, loin de là… mes 17 MS, sensés être déjà habitués au système, sont effectivement autonomes et entrent avec joie et facilité dans les apprentissages que je leur propose… mais ils ne sont pas très calmes, et pas trop silencieux non plus… Et les petits, quelle galère cette année ! Sur 12, j’ai 2 enfants en grande souffrance qui nécessitent une attention de chaque instant, et il y en a 4 autres qui n’avaient aucune autonomie, ni pratique ni affective, qu’il a fallu poupouner et encore poupouner, en supportant les pleurs et les sollicitations incessantes…
Je suis frustrée de n’avoir pas pu présenter grand-chose aux petits, à part quelques activités pratiques et sensorielles, et un peu de maths à certains… la boîte des petits objets marche super bien, mais je ne l’ai fait que quelques fois, de loin en loin, par manque de temps…
Pour les moyens on a bien avancé en math, mais en langage pas trop…
Et chaque matinée à 29 est une épreuve, toute mon énergie et toute ma patience sont mobilisées au-delà de mes capacités et de mes réserves… Je n’arrive pas toujours à rester calme et chaleureuse, et je m’en veux à chaque fois…
MAIS… ce matin j’avais demandé à la psy scolaire de venir observer mes 2 PS si difficiles, en vue d’obtenir dès que possible une AVS…
Elle a donc passé la matinée dans ma classe, et à la récré, elle m’a dit qu’elle n’avait encore jamais vu une classe de maternelle aussi chargée au niveau de l’effectif et aussi calme… Elle a trouvé que mes élèves étaient actifs, très autonomes et elle a parlé d’une “jolie cohésion” du groupe classe, étonnante avec des si petits, et si tôt dans l’année… Elle a observé des enfants qui s’entraident, qui se parlent gentiment, qui savent jouer ou travailler ensemble… Et même pour mes 2 petits pour lesquels elle était là, elle m’a dit qu’ils se comportaient certes moins bien que les autres, mais qu’elle voyait tellement pire, régulièrement ! Elle va appuyer ma demande d’AVS car les difficultés psychiques de ces enfants sont bien réelles, et elle est certaine que cela ne nous sera pas refusé, mais elle m’a dit que déjà dans la classe, ces 2 enfants avaient pris des repères, que le cadre qui leur est offert leur avait déjà permis de faire d’énormes progrès par rapport à ce que j’avais décrit il y a seulement un mois…
Ce regard extérieur m’a fait un bien fou… et c’est vrai qu’en sortant un peu le nez du guidon, en prenant un peu de recul, je peux voir moi aussi que mes enfants ont fait d’immenses progrès depuis le début de l’année, et moi aussi ! Je garde mon calme de mieux en mieux, et mes enfants aussi… La classe n’est pas silencieuse, mais ce n’est pas le capaharnaum non plus… En prenant le temps de réfléchir un peu, je m’aperçois que chaque jour je peux observer des comportements adorables entre les enfants, et de plus en plus… même si je dois encore rappeler très souvent que l’on doit chuchoter, ne pas courir, se parler gentiment, ne pas faire trop de bruit, et intervenir en cas de début de conflit ou de comportement dangereux… mais dans l’ensemble, le bilan est vraiment POSITIF…
Je suis toute contente de m’en apercevoir enfin, car jusqu’à maintenant, je n’en étais pas si sûre, toute à mes envies de bien faire, et à mes frustrations de ne pas pouvoir faire tout ce que je voudrais…
@AureliaB simplement pour te dire que si tu es trop mal dans cette classe, tu devrais demander de l’aide. Moi je suis également en arrêt car je suis trop fatiguée (jusqu’aux vacances) et j’ai appelé les syndicats. Ils m’ont conseillé de contacter le médecin de prévention afin d’avoir un entretien avec lui. Si nous sommes dans une situation trop difficile avec une classe et que nous sommes en souffrance avec cette classe, un autre poste peut nous être proposé (pas dans tous les cas, tout dépend de ce que dit ton médecin et le médecin de prévention) mais renseigne toi auprès de ton syndicat. Et même si tu n’es pas syndiqué ils te conseilleront !
Je remarque ces derniers temps que mes MS semblent devenus hyper-sensibles au ton de ma voix… je suis de plus en plus souvent obligée de m’excuser auprès d’un(e) enfant qui a les larmes aux yeux, voire qui est en sanglots, parce que je lui ai fait une réflexion… J’essaie, et j’y arrive de mieux en mieux, pourtant, de faire attention à faire ce que je dis souvent à mes petits bouts : parler gentiment, quoi qu’on ait à dire… Mais je dois bien avouer que si mes mots restent toujours appropriés, le ton de ma voix, lui, peut trahir mon agacement ou mon stress du moment… ça m’oblige à faire encore plus attention, mais ça m’attriste…
Avez-vous remarqué quelque-chose comme ça vous aussi ?
Nous aussi nous sommes fatigué(é)s.
J’ai géré cette semaine une situation avec une enfant d’une manière dont je ne suis pas fière. Il faut en avoir conscience, le reconnaître et faire mieux la prochaine fois. Moi aussi, j’apprends…
très fatiguée aussi…difficile de réagir toujours comme il faudrait…je suis au clair sur ce que j’accepte ou pas des enfants, je pense être ferme quand il le faut, le cadre semble convenir aux enfants…mais il y a des moments où je me sens démunie, surtout avec un de mes élèves, qui a l’habitude de pousser des cris régulièrement, de faire des bruits avec sa bouche, etc…en particulier quand tout est très calme (juste avant, ou pendant une lecture, quand on écoute les bruits de l’environnement, quand les petits sont à la sieste, etc…) mais aussi à d’autres moments.
J’essaie dans ce cas de le prendre avec moi et ça marche assez souvent, mais quand ça échoue, je ne sais pas quoi faire, il refuse toute autre occupation, embête les autres continue de faire du bruit, parfois pince ou tape ceux qui sont près de lui…sans réelle agressivité d’ailleurs, plus comme un jeu ou une expérience…alors je l’éloigne…rien trouvé d’autre. Je lui explique en même temps pourquoi: pour ne pas déranger les autres, me déranger, pour protéger les autres à qui il a fait mal, etc…mais ça me désole de ne pas trouver d’autre solution…
Je n’ai pas d’autre solution non plus pour mes 2 élèves qui n’arrivent pas à se conformer aux plus élémentaires règles de la vie de la classe… Mais ce qui me gênait le plus, c’est que très rapidement après le début de l’année, les autres enfants soit les imitaient, soit leur parlaient mal… Alors j’ai fait très attention à toujours, moi, leur parler le plus respectueusement possible, avec la plus grande douceur de voix, même si souvent je devais être très ferme pour les empêcher de faire n’importe quoi… et puis aussi j’en ai parlé en regroupement, et à certains enfants en aparté… J’ai demandé à tous les enfants de m’aider à apprendre à ces 2 petits comment on se comporte en classe, à le leur expliquer et à le leur ré-expliquer aussi souvent qu’il le faudrait, et toujours gentiment… J’ai expliqué à la petite qui s’amusait à crier NON ! ou à refaire les mêmes bêtises que la petite qui va mal qu’elle devait plutôt montrer à cette petite comment faire quand on se sent bien plutôt que refaire comme elle quand elle ne se sent pas bien…
Et au bout d’un moment, je me suis aperçue que les autres enfants m’aident réellement ! Ils ne crient plus, ne se mettent plus en colère quand un des petits les embête, ils restent calmes et tentent de parler… Ils ne viennent me chercher que si ce qu’ils ont essayé de dire n’a pas fonctionné, et sans colère… J’ai fait ça au feeling, sans trop y croire, mais il y a maintenant dans la classe plein de tout petits enfants qui se comportent face à ces 2 là avec une patience, une justesse et une pertinence incroyables ! Et ça fonctionne aussi entre eux tous, du coup…
Enfin tout n’est pas parfait, il y a encore des moments difficiles, et il y a même un petit qui se met à avoir peur de la petite difficile, depuis qu’elle l’a poussé violemment sans raison et sans prévenir… il le dit tous les jours depuis en pleurant à chaudes larmes, et je n’ai plus qu’à lui répéter que je suis là pour le protéger et qu’il peut rester près de moi autant qu’il veut, c’est pas simple tout ça quand même…
Merci pour ton message. Je me retrouve dans ce que tu dis. J’ai 4 niveaux et j’ai voulu partir directement en ateliers autonomes. la première période à été super et puis au retour des vacances c’est un peu retombé et j’ai stressé par rapport au éval et au bulletin !! alors j’ai fait un retour en arrière. Maintenant je vais revenir à quelquechose de plus modéré.
Courage pour la suite en tout cas !!
Bonjour @LouM, je crois que le vrai problème, c’est la formation des enseignants et le manque de formation des conseillers pédagogiques, qui sont démunis face à notre remise en question. Changer de manière de fonctionner, c’est le fruit d’un cheminement et cela remet en question tant de choses. Je crois profondément qu’il faut enseigner avec ce que l’on est et avec ce en quoi nous croyons. Nous pouvons mettre en place des ateliers autonomes magnifiques avec une grande quantité de matériel super, si le rapport aux enfants est rigide, dur, sec, manque de chaleur, de gentillesse, d’empathie, de bienveillance, de compréhension, rien ne peut se faire. J’ai tout misé là dessus et introduit les ateliers petit à petit… et l’ambiance de classe est merveilleuse, cela fait un bien fou de pouvoir se faire confiance. Les activités complémentaires en libre accès doivent être absolument utilisées pour pouvoir te permettre d’être disponible pour les présentations individuelles, l’accompagnement ou le recadrage.
Bonne continuation à toutes ! Vous allez trouver les clés, ce qui vous correspond, en mûrissant votre réflexion. Il ne faut pas regretter ce qui est ou a été, car nous apprenons de nos erreurs, de la même manière que nos élèves, mais à notre échelle d’adulte…
Merci pour ce soutien. Je pense malheureusement que je n’arriverai pas à tout gérer de front cette année et que je vais devoir aussi différer mon lancement dans cette manière de fonctionner pour le moment. ça me coûte, mais c’était bien trop difficile.
oui, j vais tenter de mieux expliquer aux enfants comment réagir…le souci c’est que cet élève est chez les moyens…du coup, comment expliquer à de plus petits que lui qu’il ne sait pas encore comment on doit se comporter en classe…
Merci pour ce message. Je suis entièrement d’accord, nous sommes très mal formés, et lorsqu’on débute, nous sommes très nombreux à nous retrouver dans des situations de grande souffrance car nous nous sentons démunis, et très peu en accord avec nous-mêmes.
Pour ce qui est de la formation des conseillers pédagogiques, c’est évident aussi. J’ai été visitée vendredi, et lorsque j’ai essayé d’aborder le sujet de cette manière d’enseigner, il m’a simplement dit que je n’étais pas prête et qu’il ne fallait pas que je me lance, sans réellement se pencher sur ce qu’était cette manière d’enseigner (il a quand même pris la référence du livre de Céline qu’il n’avait pas lu), ni sur ma problématique profonde ainsi que les remises en question que je pouvais avoir en ce moment. Et par conséquent sur ce en quoi je crois réellement.
Je crois que je vais devoir me détacher un peu de tout ça cette année, y aller vraiment doucement, et continuer à me renseigner, me documenter, et rencontrer des gens par moi-même, sinon je me retrouve toujours à finir par pleurer… Et comme tu le dis, ceci demande de la réflexion, et d’apprendre de ses erreurs.
Je me pencherai plus longuement sur le forum pendant les vacances, à tête reposée, et puis petit à petit au cours de l’année. J’ai d’ores et déjà décidé de demander un mi-temps pour l’année prochaine afin d’avoir justement le temps de me former moi-même.
En tout cas j’ai hâte d’y parvenir, surtout au vu de ce que tu dis là, et que de nombreuses autres personnes ont l’air de ressentir.
Merci pour les encouragements donc !
Alors oui c’est encore plus difficile quand ces enfants ne sont plus des petits… Mais alors les autres les connaissent, ils savent que certains d’entre eux n’arrivent pas à se conformer aux règles, comme certains autres n’arrivent pas à parler très bien, ou courir aussi vite que la plupart… Le problème c’est qu’un enfant qui ne parle pas bien a du mal à se faire comprendre, mais ne dérange personne, alors que celui qui ne respecte pas les règles dérange et fait parfois réellement du mal… Le seul message que l’on peut faire passer aux enfants, c’est le même que celui qui vaut pour nous : patience et gentillesse feront plus que force et que rage, c’est sûr… et fermeté aussi : certains comportements sont inacceptables, s’ils se produisent on ne laisse jamais passer, on rappelle toujours la règle et s’il le faut on appelle la maîtresse qui interviendra pour protéger tous les enfants…
ça demande un contrôle de soi, de son stress, vraiment très important, pour les autres enfants et surtout pour l’enseignante… alors je crois qu’il faut dire aussi que si on perd son calme parfois, c’est pas bien mais c’est pas si grave non plus : on n’est pas parfaites nous non plus, ça n’enlève rien à notre humanité, au contraire, à partir du moment où on ne tombe pas dans l’excès inverse, à s’emporter à tout bout de champ et à se faire croire que c’est le mieux à faire…
Si on a l’impression d’avoir sur-réagi, d’avoir laissé le stress parler à notre place, ou s’il était trop présent dans le ton de notre voix ou dans notre langage corporel (plus difficiles à contrôler que les mots eux-mêmes), dès qu’on s’en aperçoit on peut se corriger, se radoucir, sans s’autoflageller pour autant…
En tout cas moi j’en suis là, c’est comme ça que j’essaie de faire chaque matin…
Ce que tu dis me parle beaucoup, c’est très proche de ce que je ressens…Je crois effectivement, que l’exemple que nous donnons est primordial, de même que les explications que nous pouvons donner aux autres enfants de comportement de nos élèves perturbateurs…
Je veille toujours aussi à ne pas mettre d’“étiquettes” sur ces enfants…et quand j’entends “L… il n’est pas sage”, je rectifie toujours: "L est un peu énervé ce matin, il est sûrement fatigué et à du mal à de comporter comme il faut, mais rappelle- toi hier, comme il a été calme et agréable…"
Les enfant ont tellement vite fait de se conformer à ces étiquettes négatives…à faire ce qu’ils ont l’impression qu’on attend d’eux finalement…
Bonjour @Matluz,
merci de votre témoignage.
Ce qui vous arrive, c’est arrivé et cela arrive à un très grand nombre d’enseignants, d’éducateurs ou d’animateurs.
1)Je suis retraité.J’ai enseigné pendant 20 ans une discipline technique avec des conditions idéales.
Pourtant, j’ai toujours eu des problèmes d’autorité.
Un jour, un psychothérapeute m’a dit que tout le monde a de l’autorité.
J’ai mis 10 secondes à comprendre qu’il avait raison.
J’étais simplement non convaincu de la nécessité d’imposer en certaines circonstances des règles, de donner des ordres, de punir ( avec bienveillance).
En fait, j’étais le doute. J’ai cru que les adolescents à qui j’enseignais avaient tous le même état d’esprit que moi à leur âge.
Pour résumer, je crois manquer d’autorité car je suis dans le doute; je ne suis pas convaincu de l’utilité des ordres que je donne.
L’enseignant est comme le capitaine d’un bateau. Il sait où il entraîne l’équipage. S’il doute, les matelots doutent aussi !
Il y a plusieurs conditions pour être convaincu:
1.1) Suis-je en accord avec l’institution où j’exerce dans les grandes lignes: les valeurs, les lois, les règles de l’Ecole.
1.2) J’ai oublié les autres conditions. Une belle-sœur, ex-instit, avait rajouté: aimer les enfants, avoir de l’intérêt pour eux.
2) La pédagogie: les messages du forum, écrits par des experts, personnes ayant l’expérience.
Les ordres que vous donnez vous semblent-ils nécessaires?
Comment s’articulent-ils avec les apprentissages?
Quelles-sont vos idées sur l’ordre, l’autorité, la démocratie en classe ?
Je conseille la lecture des ouvrages ( 2 tomes) De Fernand Oury: De la Classe Coopérative à la Pédagogie Institutionnelle, édité chez Maspéro (librairie La Découverte) en 1971.
Ces livres relatent son expérience dans une école à Nanterre. Ils sont agréables à lire, réconfortant. Oury appliquait la pédagogie Freinet.
Si les livres sont introuvables neufs, on doit pouvoir les trouver d’occasion sur Internet.
3) La méthode Braingym ®. C’est une méthode inventée par un couple d’américains Paul et Gail DENNISON. C’est la kinésiologie éducative.
Elle consiste en exercices corporels très simples, comme poser la main sur le front.
Une professeur d’école avait des CP. Elle lit le manuel de référence: Le Mouvement, clé de l’apprentissage, édition Le Souffle d’Or. Elle décide en début d’année de faire pratiquer à ses bambins le mouvement " Activation croisée" ( cross-crowl en anglais), qui consiste à rapprocher un coude et le genou opposé, puis d’alterner, une sorte de marche en exagéré sur place.
Le enfants accrochent, deviennent plus calme, et la classe fonctionne bien.
Je vous transmets mon adresse mail: Dominique.Hagel@orange.fr,
car j’imagine qu’il y a urgence, même si plusieurs mois ont passé depuis votre message.
Quelques conseils supplémentaires: faire un sport ludique, la vue d’un animal montre que ma dépression est d’une certaine façon illusoire, car crée par mes pensées.
Bon courage !
pour un questionnement supplémentaire.
Comment considérer un groupe? Comme un groupe seulement? Comme un ensemble d’individus? Les deux…
Fermeté d’abord à l’échelle individuelle avec des règles pour tou.t.e.s et des conséquences adaptées pour chacun.e. Il faut des conséquences claires avec un énoncé clair de l’objectif éducatif bénéfique pour les élèves. Si les conséquences sont inefficaces il faut en trouver d’autres en cherchant une aide extérieure pour les appliquer si nécessaire.
Peut-être individuellement demander l’appui des parents…